Les dégâts et conséquences psychologiques sur les enfants en période COVID

La souffrance psychologique des enfants n’est pas terminée, même si nous pensons que le plus dur est derrière nous.

La vaccination n’est pas le sujet de cet article. Je me garde bien de vous donner mon opinion, laissant chacun libre de penser et d’agir en fonction de ses croyances et de ses actes.

Protégeons nos enfants du mal-être grandissant, surtout pour une tranche d’âge, ou leur seul tracas ou centre d’intérêt devrait être leur scolarité, les copains, les copines et le jeu.

La sonnette d’alarme est souvent tirée par l’entourage scolaire et j’ai pour ma part de nombreuses demandes à ce sujet venant de parents inquiets et démunis face au comportement de leurs enfants qui se trouvent parfois en grande détresse.

Les décisions lourdes

Les émotions de culpabilité et de peur ont pris une très grande place dans l’état émotionnel global familial, je peux parler de l’ambiance familiale aussi ou d’une certaine façon du clan.

La culpabilité qui a touché un grand nombre d’enfants, lorsqu’au début de la pandémie on les accusait d’être ceux qui pouvaient faire mourir leurs grands-parents. Eh oui ! dans les esprits innocents des enfants, c’est de cela qu’il s’agissait. La responsabilité et le traumatisme ont fait des dégâts inscrivant ces angoisses avec réalisme pour quelques-uns.

Pour les parents, la culpabilité est aujourd’hui inscrite différemment. Puisque c’est un choix plutôt délicat, pour certains d’entre eux faire vacciner son enfant va les mettre dans une situation d’angoisse résultante de questionnement, de doute, de peur…. Si faire vacciner son enfant pour certains est une obligation, pour d’autres c’est une évidence.

Pas de jugement sur cette décision, cela amène toutefois des conflits sociaux avec soi-même, au sein de la famille, entre amis, entre collègues et les enfants entre eux également.

les conflits sont malheureusement partout.

Au sein d’un même établissement médical, les services de pédopsychiatrie qui soutiennent les enfants et finalement font face à cette peur et toutes les fragilités psychologiques dues aux décisions vaccinales, du confinement, de l’école à distance, du port du masque, etc.. Et il y a le service des urgences qui reçoit des enfants contaminés par le virus et qui arrivent dans leur service dans un état grave, et le questionnement sur le fameux covid long qui les touche aussi. Finalement entre ces deux services, un conflit peut se révéler aussi ; entre préserver la santé de l’enfant, lui faire subir le port le masque à l’école ou pas dans la cour de récréation, doit-on vacciner les enfants ou non, comment faire face à la responsabilité que cela représente, avec tout se qui se dit dans notre monde ou la communication va et vient sans cesse de partout et dans tous les sens.

Que penser et que faire ?

Personne ne le sait vraiment, chacun y va de ses expériences, de ses informations et ainsi chacun fait ce qu’il peut. Il n’est pas question non plus que vous portiez ce fardeau.

Se préserver de la toxicité due aux peurs est l’une des priorités pour nos enfants.

Ce que nous constatons :

La conjoncture étant ce qu’elle est et les comportements personnels face au port du masque, les confinements qui sont encore de rigueur dans certains endroits, comme à Tahiti par exemple, dégradent considérablement la santé psychique et physique des enfants et adolescents.

Cette période pour eux est une période de construction, ce sont nos enfants qui feront la société de demain. 

Si la peur, l’angoisse et la culpabilité ou même la colère sont gravées dans leur inconscient, alors nous aurons un grand nombre de personnes adultes déprimées, et malades.

L’avenir de l’enfant ou adolescent, sa personnalité, son futur « portrait » d’adulte dépendent de son éducation.

Derrière le masque, plus de sourire plus de démonstration de joie, une identité difficile à cerner pour les uns et les autres et le besoin de ce reconnaitre instantanément, ou voir même de s’identifier à l’autre, se comparer… Tout cela n’est plus accessible.

Certains vous diront : je n’ai plus envie de sourire, par contre je fais des grimaces à mon maitre ou ma maitresse, elle ne le voit pas, c’est pratique.

Je vous laisse comprendre cette triste réalité que vivent les enfants.et adolescents aujourd’hui, et les conséquences qui en découleront.

La tristesse est une émotion, qui imprègne le corps physique et l’état émotionnel très fortement.

Peut-on parler de parents maltraitants ?

Qu’est-ce que cet adjectif qui qualifie si durement un parent, alors que celui-ci est surement prisonnier de tellement de peurs lui-même face à cette pandémie et toutes les mesures qui s’y accrochent.

Et bien, ce parent est celui qui par sa manière de présenter le sujet à son enfant en discutant devant lui et lui induisant ses propres idées va aussi mettre son enfant dans des peurs, s’il expose de cette manière la situation. Un enfant est une éponge.

Les conséquences :

La santé mentale des enfants dans ce cas est en souffrance, car l’enfant vit et survit grâce à ses parents et sa perception. Son jugement dépend entièrement de ceux avec qui il vit c’est-à-dire ce clan. Il y a là une dépendance.

D’un point de vue spirituel, l’âme s’incarne dans la matière et est obligée de passer par toute cette période d’apprentissage. Elle choisira les parents qui lui donneront le véhicule pour expérimenter sa future vie sur terre. Les parents sont avant tout des éducateurs. Ils vont aussi déterminer certains chemins jusqu’à ce que les enfants deviennent adultes à leur tour, et autonomes.

Les constatations :

Voilà bien des constatations, les parents instaurent un climat de peur et de non-confiance ou le doute et l’opposition apportent un danger dans la construction de l’enfant. Les décisions prises par les parents, et cela, quelles qu’elles soient ce n’est pas le sujet, doivent être expliquées sereinement afin que si l’enfant doit se faire vacciner, il ne soit pas victime des tensions qui se répercutent sur son état émotionnel, comme l’émotion de trahison de peur, de colère ou d’angoisse. C’est la même chose pour celui qui ne sera vacciné et qui se posera aussi beaucoup de questions.  

Je sais qu’il est trop tard, les médias ont tellement mis les personnes dans cette situation depuis le début qu’il a été bien difficile de préserver l’innocence des enfants. 

Les enfants sont otages de notre société. Nous devons les considérer différemment et les protéger, que ce soit les parents, mais aussi les personnes qui les encadrent à l’école par exemple.

Apporter un soutien

Si je fais cet article, c’est pour vous aider en vous donnant un soutien avec les Fleurs de Bach.

 

Je n’ai rien à vous vendre, je veux simplement que vous ne laissiez pas les choses s’envenimer.

Il y a des professionnels pour aider vos enfants si vous constatez des éléments perturbateurs.

Emmener son enfant chez le psy n’est pas une honte ou une tare de l’enfant. C’est l’aider à traverser cette période angoissante et parfois ingérable pour eux et pour vous.

Voici quelques élixirs du docteur Bach qui pourront atténuer certains troubles et aider à rétablir un équilibre.eLes troubles psychologiques de l’enfant sont nombreux : trouble de sociabilité, troubles phobiques comme la phobie de l’école qui se développe plus en plus depuis le confinement, mais aussi le syndrome de la cabane. Les tocs et les névroses diverses, il y a aussi des troubles physiques comme la prise de poids, l’apparition d’un diabète, crise d’angoisse, les cauchemars récurrents, et certains vont vers une régression psychique.

Ce cri d’alarme est aussi pour les parents, vous pourrez profiter et je le conseille d’une prise de Fleurs de Bach en famille.

Quelques conseils:

 n’hésitez pas à consulter un conseiller en Fleurs de Bach, il pourra travailler en profondeur sur chaque individu, parce que chacun est différent et réagit selon sa propre histoire.

 

Mimulus       Pour les peurs cibler : j’ai peur de….

Aspen.         Je suis très angoissé, j’ai peur de tout et de rien…

(Peur de la mort par exemple dans ce cas ajouter Mimulus)

Rock rose.   La peur panique, les cauchemars…

Pine              La culpabilité

Star of Bethlehem.   Le traumatisme, le choc

Holly et Beech.   La colère et l’intolérance

Red Chestnut. Une peur pour les autres, ceux qui projettent la peur  sur la sécurité de leurs êtres chers.

Bien entendu, c’est délicat de donner des conseils aussi succincts, la fleur de Bach nécessite une vraie consultation, mais ces élixirs vous permettront de commencer à gérer les troubles qui sont tellement nombreux et qu’il ne faut absolument pas banaliser.

Les émotions des enfants reflètent souvent celles des parents et adultes qui les entourent, alors essayez en tant qu’éducateur, d’offrir aux individus qui feront notre futur de l’amour, plutôt que de l’angoisse.

Boostez leur système immunitaire en massant le ventre avec quelques gouttes de l’élixir Gorse dans un petit lait pour le corps, par exemple.

Si votre enfant se fait vacciner, en application locale sur l’endroit de la piqure, le composé Rescue, plusieurs fois par jour.

En conclusion

Même si cette époque difficile qui marquera notre histoire est un véritable foyer de détresse émotionnelle, il y a des moyens  qui peuvent être mis en place pour aider nos enfants à faire face. Nous sommes des éducateurs je le répète, c’est à nous de les diriger vers des solutions tout en les entourant de sagesse, de bon sens, d’amour et de tendresse pour qu’ils puissent gérer tout ce mal-être. 

 

Florence Leautaud

Pour vos partages :